Nos équipes de développement améliorent constamment nos gammes de produits en vue d’optimiser leur efficacité. Un des domaines qui offrent le plus grand gain en matière de productivité est la dématérialisation. Fini les factures papiers ou les scans, sources d’erreurs et de perte de temps !
- Les mouvements bancaires : les fichiers digitaux générés (SEPA) ou injectés (CODA) grâce au lien bancaire permettent depuis des années des traitements automatisés simples et fiables. Les améliorations dans ce domaine portent sur des reconnaissances poussées de messages libres dans la communication bancaire. La comptabilisation et le lettrage automatique de milliers de paiements apportent une rapidité et une sécurité toujours meilleures.
- Emission, réception de factures : Si l’envoi de factures électroniques existe depuis des décennies, le traitement automatique de celles-ci est resté trop longtemps l’apanage de structures de fichiers propres aux grandes entreprises. Allegro et Popsy permettent aujourd’hui l’envoi et la réception de factures électroniques (PDF) et inclut le format eFFF (UBL 2.0). Un format qui permet l’injection automatique de factures émises par Subito (Facturation) dans une comptabilité tenue par une fiduciaire qui utilise Popsy.
- Opérations diverses de salaires : Tout comme Allegro, Codabox cherche constamment à faciliter la vie des fiduciaires. Un nouveau format, appelé SODA permet aux secrétariats sociaux d’envoyer les ‘OD’ de salaires aux fiduciaires qui les injectent ensuite automatiquement dans les dossiers de leurs clients.
Autant d’applications qui permettent de se libérer de tâches fastidieuses et répétitives pour se consacrer à des opérations de plus grande valeur ajoutée. Améliorer l’efficacité de nos packages est un objectif permanent pour nos équipes.Intéressé ? Remplissez notre formulaire de contact ou téléphonez-nous au 081 30 53 53
A l’heure des réseaux sociaux, le client fait de plus en plus entendre sa voix sur les produits. Et les marques y voient aussi un moyen d’y créer du lien. Une nouvelle technique consiste aussi à faire participer le client dans le développement de produits.
Adidas, Nike, Axa, Decathlon, Airbnb, Lego. Ces entreprises, et non des moindres, font désormais appel à leurs clients dans leurs processus. Pour certains, il s’agit juste de faire du service après-vente ou de gérer les questions posées sur les réseaux sociaux ou les forums. Pour d’autres, la relation est plus intime. Ils leur demandent des idées pour de nouveaux produits ou service ou les interrogent à chaque étape du développement. On appelle cela la cocréation et elle présente de nombreux avantages. Premièrement, la cocréation fait gagner du temps aux entreprises. En effet, en faisant valider par ses clients et donc futurs utilisateurs chaque étape du développement d’un produit ou d’un service, elle permet d’écarter des hypothèses, de fermer des portes et de s’assurer qu’il répond aux attentes. Il en résulte une accélération du processus de production. Avec un net gain en flexibilité. Deuxièmement, et ce n’est pas le moins négligeable, elle met le client en valeur. Ce qui ne va faire que renforcer le lien qu’il a avec la marque. Pour autant, qu’on le tienne au courant de l’avancée du projet et qu’on lui explique aussi pourquoi son idée n’a pas été retenue. Pour que cette relation reste saine, il est crucial que ces clients ne soient pas rémunérés mais plutôt récompensés sous forme de produits gratuits ou d’invitations à des événements ou au lancement du produit.
Lentement mais sûrement, les entreprises, les petites comme les grandes, se tournent vers le cloud et digitalisent leurs activités. Mais attention, ce passage au numérique n’est pas qu’une question de matériel. Il convient de bien préparer son personnel. Voilà quatre éléments à ne surtout pas négliger.
- Rassurer : une récente étude de l’université d’Oxford démontre qu’une très large majorité d’employés (68 %) craignent de devenir obsolètes à cause de l’avancée galopante de la technologie. La première mission d’une entreprise qui se digitalise est de rassurer son personnel. Et non, ils ne seront pas remplacés par des robots mais oui, leur quotidien va un peu changer.
- Définir des compétences : une entreprise n’est pas l’autre et la digitalisation n’entraîne pas les mêmes effets sur les profils de fonction nécessaires ou ceux devenus inutiles. On le sait, la numérisation entraîne l’apparition de métiers que les écoles tardent encore à appréhender. Réussir sa mue numérique, c’est aussi anticiper sur les compétences nécessaires. Mais c’est aussi, en termes de ressources humaines, favoriser la transmission de savoir. Un jeune spécialiste en analyse de données n’y connaît sans doute rien en bonnes pratiques bancaires et vice versa…
- Prévoir des budgets de formation : c’est souvent le poste oublié. Dépenser des milliers d’euros en matériel et solutions logicielles performantes ne sert à rien si personne ne sait s’en servir… C’est aussi un moyen de bien faire accepter les changements qui arrivent en permettant au personnel de se les approprier
Jouer la transversalité : c’est un secret de polichinelle, les entreprises fonctionnent encore trop avec des silos. Chaque département garde précieusement son indépendance et ses pratiques. La digitalisation a tendance à faire exploser ces silos et à obliger tout le monde à jouer collectif. C’est un des points les plus délicats : parvenir à modifier la culture d’une entreprise.
Source: http://allegro.be/fr/dernieres-nouvelles/nouvelles-avancees-pour-les-clients-popsy-et-allegro/